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Que ce soit via un jeu en ligne ou les réseaux sociaux, si votre enfant est victime de cyber-harcèlement il est important d’en parler et notamment auprès des forces de l’ordre. Pensez à faire des captures d’écrans qui constituent des preuves du cyber-harcèlement. Il existe aussi des plateformes d’écoute comme Net ecoute.fr Sources : https://e-parents.fr/jeux-video-en-ligne-attention-aux-comportements-violents/ https://larevuedesmedias.ina.fr/comment-reguler-les-comportements-nuisibles-dans-les-jeux-en-ligne https://www.pedagojeux.fr

Le cyberharcèlement ne constitue pas la seule cyber violence cela inclut aussi l’usurpation d’identité, l’exclusion, le happy slapping, le flaming, le slut shaming, l’outing, ou encore le revenge porn. Tous ont pour objectif de porter atteinte à la victime et sont tous punis par la loi. Sources : https://e-parents.fr/2021/05/26/quest-ce-que-la-cyberviolence/ https://www.e-enfance.org/le-3018/ https://www.e-enfance.org/cyberharcelement-cyberviolences/

La cyber violence se définit comme un acte agressif, intentionnel, perpétré par un individu contre une personne ou un groupe de personne via les téléphones portables, messageries instantanées, forums, jeux en ligne, ou encore les réseaux sociaux. La victime ne pourra se défendre seule. En lire plus avec notre article : https://e-parents.fr/2021/05/26/quest-ce-que-la-cyberviolence/ https://www.e-enfance.org/le-3018/ https://www.service-public.fr/

Les articles 226-1 à 226-8 du Code civil précisent que « tout individu jouit d’un droit au respect de sa vie privée ainsi que d’un droit à l’image. En vertu de ces dispositions, il va de soi que la publication ou la reproduction d’une image (photographie ou vidéo) sur laquelle une personne est facilement reconnaissable n’est autorisée qu’avec son consentement préalable, et ce, que soit préjudiciable ou non. Pour un mineur, l’accord doit être demandé aux parents qui sont responsable de l’image de leurs enfants jusqu’à leurs 18 ans. La peine encourue est d’un an de prison et 45 000 € d’amande. Source : http://www.vous-etes-au-top.com/blog/e-reputation/droit-image-internet.html

En règle générale, le problème ne vient pas de l’envoi de la photo, mais du partage de celle-ci sur Internet. La loi ne sanctionne pas l’envoi mais bien le partage. Et celle-ci est très claire :  la transmission d’images pornographiques impliquant un mineur est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende par l’article 227-23 du code pénal. Dans un cadre comme celui-là, il est conseillé d’entamer une procédure judiciaire auprès de la PJJ (Protection Judiciaire de la Jeunesse) et d’en informer l’établissement scolaire afin qu’une solution commune soit mise en place. Attention : tout ce qui est posté sur Internet ne peut en être supprimé. Source : https://www.nonauharcelement.education.gouv.fr/que-faire/faire-face-au-cyberharcelement/

Comme pour le harcèlement, briser le silence est le premier pas vers la résolution du problème. La communication est le facteur de réussite numéro 1 dans la résolution de cette problématique. Puis plusieurs actions sont à mener : Ecouter son enfant, évaluer la situation, rassembler les éléments, signaler le contenu, identifier les auteurs, informer l’équipe éducative et engager une procédure judiciaire ainsi que des poursuites pénales. Pour les procédures judiciaires, toujours contacter la PJJ (Protection Judiciaire de la Jeunesse). Source : https://www.nonauharcelement.education.gouv.fr/que-faire/faire-face-au-cyberharcelement/

Le cyber-harcèlement peut prendre plusieurs formes telles que : les intimidations, insultes, moqueries ou menaces en ligne la propagation de rumeurs le piratage de compte et l’usurpation d’identité digitale la création d’un sujet de discussion, d’un groupe ou d’une page sur un réseau social à l’encontre d’un camarade de classe la publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en mauvaise posture Le sexting (c’est la contraction de « sex » et « texting »). On peut le définir comme « des images produites par les jeunes (17 ans et moins) qui représentent d’autres jeunes et qui pourraient être utilisées dans le cadre de la pornographie infantile. Source : https://www.e-enfance.org/cyberharcelement-cyberviolences

L’outing (en français, révélation volontaire de l’homosexualité d’une personne) vise à divulguer des informations intimes ou confidentielles, comme l’homosexualité ou les activités privées d’une personne afin de la déstabiliser et de salir sa réputation. Source : https://www.avocotes.com/articles/article_3.html

L’usurpation d’identité consiste à utiliser, sans votre accord, des informations permettant de vous identifier. Il peut s’agir, par exemple, de votre nom et prénom, de votre adresse électronique, ou encore de photographies. Ces informations peuvent ensuite être utilisées à votre insu, notamment pour souscrire sous votre identité un crédit, un abonnement, pour commettre des actes répréhensibles ou nuire à votre réputation. Sources : https://www.cnil.fr/fr/lusurpation-didentite-en-questions

La pratique des nudes correspond à l’échange de photos érotiques entre deux adolescents. Elle consiste à transmettre, par communication électronique, (réseaux sociaux, sms) une photo intime exposant une partie de son corps (poitrine, partie génitale) à son partenaire. Aujourd’hui, dans notre société, avoir de telles pratiques est devenu dangereux car cela expose certain jeunes (majoritairement des jeunes filles) aux regards des autres dès lors que la photo est partagée sur Internet. Source : Horizon multimédia

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